À la fin de la semaine j'aurai passé le cap des 8 mois au Canada et celui de la moitié de mon stage. Le temps passe vite. Très vite.
Depuis la dernière fois, j'ai réussi à trouver une galette des rois début janvier, mais elle n'avait pas de fève.
Toujours en janvier, j'ai eu l'expérience d'une journée à -28°C. C'était assez similaire à mon expérience des 48°C à la Death Valley dans le sens où c'était démentiellement extrême (si toutefois c'est français). Un froid qui attaque le visage et m'a fait rire par son côté inhumain. Mais tout comme les tempêtes de neige, ce genre température très froide n'arrête bien sûr pas la ville et ses habitants. À croire que personne ne l'avait remarqué.
J'ai vu beaucoup de beaux couchers de soleil à l'école puisque les jours se faisaient courts et mes journées étaient parfois longues.
J'ai appris à parler l'APDL, un langage de programmation qui risque de ne plus me servir après mon stage.
Il m'est arrivé d'en avoir sérieusement marre de la neige, du froid et de cet hiver interminable. De mettre mes bottes tous les jours et de prendre 5 min tous les matins pour se couvrir avant de partir dans le froid (et d'avoir trop chaud une fois dans le métro), et 5 min tous les soirs pour retirer les bottes pleines de neige, dans l'entrée, en essayant de ne pas mouiller ses chaussettes.
C'est le jour du printemps et il neige |
Il n'est pas tout à fait parti mais on est du bon côté, c'est à dire qu'il fait plus chaud (on est remonté au-dessus du 0°C, ça y est !) et qu'il ne reste de la neige que dans les parcs et à l'extérieur de la ville.
Avec, viennent toutes les saletés qui s'étaient cachées dans la neige ainsi que les mares qu'il faut éviter (et parfois, ça demande de sacrés détours) mais on oublie vite ça puisqu'on est content de voir les beaux jours arriver.
Ça y est, la neige fond |
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